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L'intestin de votre enfant est un champ de bataille. Êtes-vous prêt à gagner la guerre ?

Êtes-vous prêt à gagner la guerre ?

Nous avons tous ce rêve idéal d'élever des enfants heureux et en bonne santé. Nous voulons ce qu'il y a de mieux pour nos enfants et faisons notre possible pour les protéger et les guider.

Aujourd’hui, j’observe un enjeu que je juge majeur au sein des familles. Peut-être serez- vous choqué de lire que j’observe souvent que ce sont LES ENFANTS QUI DÉCIDENT.

Oui, vous avez bien lu. Dans la quête du souhait d’avoir un enfant heureux, le parent oublie que c’est lui qui prend les décisions. Il traite son enfant parfois comme son égal, interagit avec lui comme s’il pouvait participer à des prises décisionnelles importantes au sein de la cellule familiale, l’impliquant dans ces décisions dans lesquelles il ne devrait pas être concerné et qui ont un impact majeur sur son développement physique et mental.

Vous me voyez venir? Oui, je parle de l’alimentation. Pourquoi impliquons-nous les enfants dans ce domaine? Les enfants n’ont pas la capacité d’exercer leur jugement sur ce qui est bon pour leur santé. Ils sont guidés par le plaisir et la récompense.

La réponse : c’est parce que les parents ont peur.

  • Peur de rendre leur enfant malheureux

  • Peur que leur enfant se sente différent

  • Peur du jugement (garderie, école, famille)

  • Peur de prendre le contrôle des décisions et d’affirmer son autorité

  • Peur que la restriction rende l’enfant malade mentalement (j’ai entendu cela oh! des centaines de fois)

Je comprends tellement !

Aller à contre-courant est difficile. Le message faux et propagé dans notre société est puissant sur le mental :

  • Tout est bon avec modération (de mon point de vue, ce slogan a été crée pour déculpabiliser les parents qui cèdent à la pression sociale-ce n’est pas une vérité en soi)

  • Si tu restreints ton enfant, il souffrira de trouble alimentaire.

Je veux rectifier le tir sur ce 2e point, ayant travaillé en psychiatrie du trouble alimentaire quelques années. Laisser un accès à la malbouffe augmente les risques de développer un trouble alimentaire, et non l’inverse. En laissant un accès régulier à des aliments transformés, on nourrit une communauté de microbes qui produisent des toxines dans l’organisme. La réalité est qu’il est ensuite beaucoup plus difficile de renverser la vapeur, car le terrain qui a été nourrit favorise la prolifération de parasites, champignons et autres microbes, dont la présence augmente les risques de dysbiose ET par le fait même, le risque de développer une maladie, des rages de sucre, des comportements d’hyperphagie alimentaire, de dépendance au sucre, d’alcoolisme et de toxicomanie.

Céder aux demandes de nos enfants pensant que cela les rendra heureux, est-ce vraiment une bonne stratégie?

L'industrie alimentaire, avec ses millions de dollars en marketing, a son propre mode d'emploi – un qui conditionne nos enfants à désirer des aliments malsains à travers la perception de la TEL-A-VISION et l’autre, en ajoutant des ingrédients qui visent volontairement à augmenter la dépendance en leurs produits (ex. rehausseur de saveurs).

Chaque récompense sucrée qui est offerte (combien de fois ai-je eu des discussions animées avec les enseignants de mes enfants. Peut-être avez-vous ces mêmes discussions avec les grands-parents, qui sait?) renforce l'idée que la nourriture est une solution, une consolation. Ce n’est pas eux qui doivent changer, mais nous, les adultes dans nos conduites en lien avec la nourriture. Une relation saine avec la nourriture commence sous notre toit, dans notre maison.

Imaginez un instant que :

Votre enfant soit libéré de l'anxiété qui le paralyse...
Votre enfant soit enfin capable de se concentrer en classe...
Votre ado soit débarrassé de ses sautes d'humeur inexpliquées...

Ce n'est pas un rêve. C'est pourtant une réalité que j’observe chaque jour dans ma pratique, quand les parents osent regarder là où personne ne regarde : le fonctionnement intestinal de leur enfant.

La réalité (parfois difficile à voir)

Le champ de bataille le plus crucial pour l'avenir de votre enfant n'est pas à l'école ou sur les réseaux sociaux. Il est dans son ventre. Ce que nous percevons comme des friandises inoffensives pourraient en réalité être la racine des troubles de comportement, d’anxiété, et de concentration.

  • 7-10% des enfants souffrent d'anxiété

  • 1 enfant sur 36 est diagnostiqué autiste

  • 5-10% luttent contre la dyslexie

Ces chiffres ne sont pas simplement alarmants, ils démontrent l’importance de traiter la source du problème. La plupart de ces troubles peuvent être améliorés, voire évités, en prenant soin du microbiote intestinal. Il faut donc commencer par la racine, ce que nous ingérons!

L'axe intestin-cerveau est essentiel : L’intestin et le cerveau communiquent constamment, et 80% des neurotransmetteurs, ainsi que des hormones et la défense immunitaire sont produits dans l’intestin.

  • L’impact de l’alimentation : Une alimentation industrielle, riche en sucres, déséquilibre le microbiote et affecte directement le comportement des enfants par un phénomène que l’on appelle la dysbiose.

  • Naissance et santé intestinale : La manière dont votre enfant est né (césarienne vs naissance naturelle) et nourri (allaitement vs formule) influence fortement la composition de son microbiote.

  • Antibiotiques et autres médicaments: Leur usage détruit les bonnes bactéries intestinales, affectant la santé mentale et physique de votre enfant.

    Autisme, TDAH, anxiété, dépression, trouble alimentaire, TOC, Tourette, dyslexie : Ces troubles sont associés à des déséquilibres intestinaux. Traiter le microbiote atténue les symptômes, renverse les conditions, éteint le feu dans la forêt intérieure…

C’est là que commence la vraie guérison.

Ignorer le microbiote, c’est comme tenter de construire une maison sans fondations — impossible d’affronter les intempéries et elle s'effondrera inévitablement.

L’épidémie de troubles mentaux chez les enfants n’est pas seulement une question de société — c’est une question intestinale.

Points clés à retenir :

  • Anxiété et dépression chez les enfants : Environ 7 à 10 % des enfants souffrent d’anxiété, tandis que 3 à 5 % luttent contre la dépression. Travailler sur l’intestin peut atténuer ces symptômes.

  • Autisme et santé intestinale : 1 enfant sur 36 est diagnostiqué avec l’autisme. De nombreuses études suggèrent un lien entre l’autisme et un microbiote déséquilibré.

  • Dyslexie et neurodéveloppement : La dyslexie touche jusqu'à 10 % des enfants. Le rôle de l’intestin dans le développement cérébral précoce pourrait influencer notre approche des troubles d’apprentissage.

  • Axe intestin-cerveau : L’intestin communique avec le cerveau via le nerf vague, la production de neurotransmetteurs (90 % de la sérotonine est produite dans l’intestin !) et la modulation du système immunitaire.

  • Le pouvoir de la naissance et de la nutrition : La manière dont votre enfant est né (naissance naturelle vs césarienne) et sa nutrition précoce (allaitement vs formule) façonnent considérablement la santé intestinale et, par conséquent, leur résilience mentale.

Pourquoi la plupart échouent?

  • ❌ Ils traitent les symptômes, pas la cause profonde

  • ❌ Ils ignorent que l’équilibre mental est un conséquent d’une flore équilibrée qui absorbent bien les nutriments

  • ❌ Ils sous-estiment l'impact dévastateur des antibiotiques et de l'alimentation industrielle sur le cerveau en développement

    C'est comme arroser un arbre avec de l'eau polluée et s'étonner qu'il ne pousse pas droit.

Exemple clinique

J'ai récemment suivi Léa, 8 ans, diagnostiquée avec un TDAH. Les parents souhaitaient explorer d’autres pistes que la médication, inquiets des effets secondaires importants qu’ils observaient chez leur fille. En effet, Léa dormait très mal, se levant fatiguée à tous les matins. Elle mentionnait que son coeur battait vite souvent en classe et se sentait stressée. Les parents notaient aussi que la colère et les situations où Léa était impatiente étaient plus fréquentes. La croissance de Léa était également freinée, probablement liée au fait que son appétit était affecté par la molécule…

Après 3 mois de rééquilibrage du microbiote, ses parents ont constaté :

  • Une amélioration sur le plan de l’humeur

  • Une réduction de l’intensité et de la fréquence des épisodes de colère

  • Un sommeil réparateur

  • Un retour de l’appétit

  • Une amélioration marquée des capacités de concentration et de mémoire

  • Des commentaires positifs sur le comportement de Léa en classe

Prêt à offrir à votre enfant la chance d'une santé mentale optimale ?

J’ai quelques places de disponible dans mon coaching Immersion santé- coaching sur mesure pour les besoins de votre famille.

En attendant, j'ai une question pour vous : Avez-vous déjà remarqué un changement de comportement chez votre enfant après un traitement antibiotique ou un changement alimentaire ? Partagez votre expérience en répondant à cet email. Votre témoignage pourrait aider d'autres parents !

Prenez soins de nos futurs leaders de ce monde!

Avec amour,
Geneviève

P.S. Vous connaissez des parents débordés par le comportement de leur enfant ? Transférez-leur cet email. Vous pourriez être à l'origine d'un véritable miracle pour leur famille !

Curiosité piquée? Prêt (e) à plonger dans l’univers de la psychologie holistique? Voici les outils nécessaires pour amorcer le changement!

1. L'alimentation et la neurotoxicité :  Les gens me demandent souvent quels aliments sont à éviter et à privilégier. Voilà pourquoi j'ai créé ce petit guide GRATUIT pour bien vous guider dans vos choix.

2. eBook Ton gut te parle : J’ai écris ce ebook avec mon coeur. Il s’agit de mon histoire, l’histoire de mon fils Olivier et de mon parcours jusqu’ici. Il vous plongera dans l’univers du microbiote intestinal pour en apprendre davantage sur le lien entre la santé mentale et la santé intestinale.

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4. Syndrome du garde manger : J’ai mis par écrit mes recettes perso, celles que je cuisine pour ma famille. Adaptées à un mode de vie chargé et à toutes les personnes qui ont des enjeux sur le plan de la santé mentale.

Allez, c'est le moment de reprendre le contrôle!

À ta santé (la vraie),

Geneviève

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